David Essomba
Samuel Eto’o, président de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot), continue de redéfinir les contours du football africain. Lors d’une visite marquante en Égypte, il a répondu à l’invitation de Hany Abo Rida, tout juste élu à la tête de la Fédération Égyptienne de Football (EFA). Une immersion qui lui a permis d’explorer des infrastructures sportives d’exception, véritables joyaux du continent.
Une immersion dans l’excellence égyptienne
Reçu avec les honneurs au siège ultramoderne de l’EFA, Eto’o a bénéficié d’une visite guidée orchestrée par Abo Rida en personne. Des stades de classe mondiale, un centre d’entraînement sophistiqué, une salle de musculation dernier cri et même un hôtel intégré pour les équipes nationales : l’Égypte ne lésine pas sur les moyens pour hisser son football au sommet.
Inspiration et ambition
Face à cette vitrine technologique et organisationnelle, Eto’o n’a pas caché son admiration. Pour lui, ces installations sont un modèle dont le Cameroun et d’autres pays africains pourraient s’inspirer. Cette rencontre a également été l’occasion de jeter les bases d’un partenariat stratégique entre les deux fédérations, renforçant ainsi les liens entre deux géants du football africain.
L’avenir du football africain en marche
Au-delà des infrastructures, cette visite symbolise une vision partagée: celle d’unir les forces pour faire briller le football africain sur la scène mondiale. En misant sur la coopération et l’innovation, des leaders comme Eto’o et Abo Rida tracent le chemin d’une Afrique sportive plus ambitieuse et plus compétitive.
